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    Le potentiel et les limites de l’intelligence économique et stratégique à l’ère du big data et de l’intelligence artificielle

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    The development of information and communication technologies continues to improve the functioning of organizations, particularly in the fields of computer science and digital technology. This article has a double objective: on the one hand, to clarify the notion of Big Data, and all that it implies as sources, problems, and controversies. It also aims to make the link between the notions of intelligence and economic intelligence and to bring the differences between them. The second objective is to present an overview of the policies adopted in the field of economic intelligence, on a global scale, for a comparative analysis. Well-structured companies, thanks to business intelligence, have improved their methods of collecting, storing and processing information in order to exploit it in a timely manner. However, the human being, however intelligent, is quickly overwhelmed by this flood of data, infobesity being generally an obstacle to the search for information. With the third industrial revolution, which is the digital revolution, and thanks to Big data, the neural network principle and algorithms, another form of life was born, it is artificial intelligence (AI). In terms of methodological approach, we have chosen the hypothetico-deductive methodology which is based on the formulation of hypotheses that are then tested through experiments and observations. The results of these tests are then used to validate or refute the hypotheses provided. To test the latter, our empirical study is based on a sample of 5 watchers, 5 analysts, 4 controllers and 7 auditors, i.e. a total of 21, who responded to the online survey.  Furthermore, economic intelligence, through better use of Big Data, allows us to guarantee a strong control of the changes in the environment for any possible crisis or opportunity.   Keywords: Economic Intelligence, Artificial Intelligence, Neural Network, Big Data Classification JEL : A12 M15 O33 O50 Paper type : Empirical researchLe développement des technologies de l'information et de la communication ne cesse d'améliorer le fonctionnement des organisations, notamment dans les domaines de l'informatique et du numérique. Cet article a un double objectif : d'une part, clarifier la notion de Big Data, et tout ce qu'elle implique comme sources, problèmes, et controverses. Il s'agit également de faire le lien avec les notions de veille et d'intelligence économique et d'en apporter les différenciations. Le second objectif est de présenter un état des lieux des politiques adoptées dans le domaine de l'intelligence économique, à l'échelle mondiale, en vue d'une analyse comparative. Les entreprises bien structurées, grâce à l'intelligence économique, ont amélioré leurs modes de collecte, de stockage et de traitement de l'information afin de l'exploiter en temps utile. Cependant, l'homme, aussi intelligent soit-il, est rapidement submergé par ce flot de données, l'infobésité étant généralement un obstacle à la recherche de l'information. Avec la troisième révolution industrielle, qui est la révolution numérique, et grâce au Big data, au principe du réseau neuronal et aux algorithmes, une autre forme de vie est née, c'est l'intelligence artificielle (IA). En termes d’approche méthodologique, nous avons choisi la méthodologie hypothético-déductive qui repose sur la formulation d'hypothèses qui sont ensuite testées à travers des expériences et des observations. Les résultats de ces tests sont ensuite utilisés pour valider ou réfuter les hypothèses fournies. Pour tester ces derniers, notre étude empirique repose sur un échantillon de 5 veilleurs, 5 analystes ,4 contrôleurs et 7 auditeurs, soit un total de 21, qui ont répondu aÌ€ l’enquête en ligne. Par ailleurs L'intelligence économique aÌ€ travers une meilleure utilisation des Big Data permet en se basant sur des ressources et ainsi que des compétences dynamiques de garantir une forte maitrise des changements de l’environnement pour toute éventuelle crise survenue ou toute opportunité offerte.   Mots clés : Intelligence Économique, Intelligence Artificielle, réseau de   neurone, Big Data Classification JEL : A12 M15 O33 O50 Type de l’article : Recherche empiriqu

    Le contrôle de gestion par activité et le pilotage de la performance de l’entreprise : Cas du Maroc

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    Since the beginning of the century, management control has been conceived in the context of Taylorian management, which is based on four principles: consistency over time, perfect information for management, the quest for cost minimization, and the preponderance of production costs over total costs. Management control is therefore a benchmark tool for measuring and steering manufacturing productivity, and first and foremost direct labor productivity. From the 1970s onwards, external and internal upheavals within organizations forced us to rethink the objectives, tools and uses of this model. In response to the current competitive environment, companies are facing management problems, so managers have had to react by implementing steering tools to help them achieve their objectives. The role of management control is to help managers in this task of steering the company. Management control is both a function performed by the management controller himself/herself and a process enabling the steering of the entire company, be it general management, middle management or operational management. It differs from the financial mission, which is to ensure the economic development of the company through the efficient allocation of financial resources.  In economic terms, management control can be seen as à set of tools for ensuring the relevance of steering choices, or in sociological terms, as a means of ensuring the convergence of individual employee actions and corporate objectives. The aim is therefore to determine the impact of adopting an activity-based management control system using dashboards in an organization on the performance perceived by managers in different types of companies. To carry out this work, we adopted the following methodological approach: we opted for a hypothetico-deductive approach, based on a literature search. We consulted a number of dissertations and books dealing with this research theme, which enabled us to understand the concepts of activity-based management control and its contribution to corporate performance management.   Keywords: Management control, Activity management, Dashboards, Organizational performance. Classification JEL : L25 M11 M41 Paper type : Empirical researchLe contrôle de gestion est né au début du XXe siècle dans le contexte du management taylorien. Ce modèle repose sur quatre principes fondamentaux : la stabilité, l’information complète, la minimisation des coûts et la prédominance des coûts de production. Ce modèle a permis de mesurer et de piloter la productivité manufacturière, en particulier la productivité directe du travail. À partir des années 1970, les perturbations extérieures et intérieures aux organisations ont conduit à remettre en cause ce modèle. Ces perturbations ont été multiples : intensification de la concurrence, évolution des technologies, modification des attentes des clients, etc. Cette remise en cause a touché les objectifs, les outils et les utilisations du contrôle de gestion. Pour donner suite à cet environnement concurrentiel actuel, les entreprises font face à des problèmes de gestion, en conséquence les managers ont dû réagir en mettant en place des outils de pilotage, qui leur permet d’atteindre leurs objectifs, donc le contrôle de gestion a pour fonction d’aider le manager dans cette tâche de pilotage de l’entreprise. Le contrôle de gestion est à la fois une fonction remplie par le contrôleur de gestion lui-même et un processus permettant le pilotage de l’ensemble de l’entreprise, qu'il s'agisse de la direction générale, de la direction intermédiaire ou de la direction opérationnelle, elle se démarque de la mission financière, qui permet d'assurer le développement sur le plan économique de l'entreprise grâce à une affectation efficace des ressources financières.  Le contrôle de gestion peut être envisagé sur le plan économique comme un ensemble d’outils permettant d’assurer la pertinence des choix de pilotage ou sur le plan sociologique, comme un moyen d’assurer la convergence des actions individuelles des salariés et des objectifs de l’entreprise. L’objectif donc est de déterminer l'impact de l’adoption d’un système du contrôle de gestion par activité en utilisant les tableaux de bord dans une organisation sur la performance perçue par les gestionnaires dans les différents types d'entreprises. Pour mener ce travail, nous avons adopté la démarche méthodologique suivante : nous avons opté pour une démarche méthodologique qui s’inscrit dans une approche hypothéticodéductive, qui porte sur une recherche bibliographique. Nous avons consulté quelques mémoires et différents ouvrages, qui traitent ce thème de recherche, ce qui nous a permis de comprendre les notions de contrôle de gestion par activité et la contribution dans le pilotage de la performance de l’entreprise.   Mots clés : Contrôle de gestion, Pilotage d’activité, Tableaux de bord, Performance organisationnelle. Classification JEL : L25 M11 M41 Type de l’article : Recherche empiriqu
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